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Bienvenue sur Economieagri.fr Exemple de DS sur PAC (Pac de 1962 à la réforme de 2003). Deux corrections de DS... Analyse de 50 ans d'évolution du déficit budgétaire en France Au mois d'octobre 20014 la dette publique française a atteint la somme astronomique de 2000 milliards d'Euro... A lire en suivant ce lien, une analyse du déficit public en France, mise en perpestive avec les crises internationales ou européennes, et les changements de mandatures législatives et ou présidentielles.
CANEVAS du document de stage BAC PRO CGEA
PAC 2015 - principes et feuillles de calculs des DPU pour votre exploitation dans la rubrique "économie agricole", sous menu " réforme PAC 2014". Calculs adapté à votre situation possibles de 2015 jusqu'en 2019 Voir mode d'utilisation des "sous menus" ci-dessous ou cliquez sur ce lien direct Réforme PAC 2015. Utilisation des sous menus (présents si il y a un chevron à droite du nom de la rubrique): survoler, avec la souris, les rubriques dans le menu à gauche de l'écran. Si un sous-menu qui vous intéresse apparait, choisissez le en cliquant dessus... Exemple avec l'image ci-dessous, avec le sous menu de la rubrique "Economie Générale".
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¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ Le 13 septembre 2013 Avec la crise syrienne, le flash du Mercredi 14 février 2013 et celui du 5 décembre 2012 montre à quel pooint cette crise couve depuis longtemps et donne quelques perspectives sur l'armée syrienne en cas d'intervention occidentale en Syrie (notamment par la voie des airs)... * Flash: le mercredi 14 février 2013 Pas d'accord avec l'Iran, annonce l'AIEA VIENNE. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) n'a conclu aucun accord avec l'Iran sur un plan de vérification de son programme nucléaire controversé, a déclaré, jeudi 14 février, le chef des inspecteurs de l'agence, Herman Nackaerts, à son retour d'une visite en Iran. " Nous avons eu des discussions sur un document d'approche structurée " visant à examiner une possible dimension militaire du programme nucléaire iranien, " qui n'a pas pu être finalisé ", a déclaré le Belge à l'aéroport de Vienne. " Nous ne nous sommes pas encore mis d'accord sur une date pour la prochaine réunion ", a-t-il ajouté. - (AFP.) * Flash, Le 5 Décembre 2012 La secrétaire d'état, Mme Clinton, vient d'annoncer aujourd'hui, la mise en place de batteries de missiles Patriot, pour protéger la Turquie. Ceci est lourd de sens, et montre à quel point la situation Syrienne inquiète les USA. L'élection d'Obama le mois dernier commençait avec un satisfecit à donner à son administration, dans sa politique contre la bombe nucléaire en construction en Iran (consulter le message écrit le 5 novembre 2012, ci-dessous). Mais ce mandat d'Obama commence avec un pourissement de la crise syrienne, et des agissements de l'armée syrienne qui laissent à penser que des armes chimiques ont été mis en condition pour devenir opérationnelles. Les récents accrochages entre des avions de chasse turques et la défense aérienne syrienne, montraient déjà à quel point la situation était tendue entre les deux pays. Ils montraient aussi qu'une opération aérienne des alliés dans le ciel syrien, pour aider les rebelles, serait une gageure autrement plus problématique, que ne l'avait été l'intervention française, puis alliée dans le ciel lybien, pour faire tomber Kadafhi. En effet, la chasse syrienne, et ses capacités antiaériennes sont autrement plus solides que celles de la Lybie. Celle-ci compte dans sa flotte aérienne des Mig soviétiques relativement récents et surtout des missiles anti-aériens efficaces et livrés en grand nombre par leur allié russe (soviétique auparavant). Mais ce déploiement de missiles patriot montre surtout que les occidentaux craignent un dérapage du pouvoir syrien et de son armée, qui acculés, pourraient jouer les Kamikases et lancer contre l'allié occidentall turque (et les réfugiés syriens qui se réfugieraient en Turquie) des missiles balistiques chargés de têtes chimiques. N'ayant plus rien à perdre, rejetés par leur peuple, ces dirigeants et leurs derniers militaires restés fidèles, pourraient, dans un geste suicidaire, attaquer la Turquie avec ces armes chimiques qu'ils semblent juste avoir activé depuis quelques jours. La Syrie semble-t-il disposerait de missiles balistiques capables de projeter des têtes militaires chargées de gaz sarin et peut être même de VX. Cette logique suicidaire pourrait-être catastrophique pour la Turquie. En effet, à moins que les missiles patriot aient été améliorés, leur efficacité est toute relative face à des missiles balistiques. Développés au départ pour faire face à une invasion aérienne massive, ils ne sont pas très efficaces contre des missiles, plus petits et plus rapides, surtout après leur apogée (où leur vitesse augmente vite), que des avions de chasse (contre lesquels ils ont été conçus). En 1990, lors de la première guerre du golfe, déployés en grand nombre pour protéger l'Arabie Saoudite des poussifs et lents Scuds (vieux missiles d'origine soviétiques) irakien de Sadam Hussein, les missiles patriot n'avaient même pas réussi à arrêter un missile irakien sur deux. Et encore, à l'époque, ils avaient l'avantage d'avoir la profondeur de terrain pour avoir le temps de s'armer et de choisir leur cible. L'éloignement de l'Irak d'où partaient les tirs, des grandes villes du Sud de l'Arabie saoudite, avait permis, souvent, d'avoir le temps de tirer plusieurs salves de patriot, pour augmenter les chances de toucher leur cible. Ici, il n'y a pas de profondeur pour le champ de bataille, la population turque et la capitale turque est à deux pas de la Syrie. Il n'y aura donc pas de seconde chance pour les missiles anti-missiles (patriot). De plus, rien ne dit que les syriens ne disposent pas de missiles plus perfectionnés que les vieux Scud de Sadam Hussein. Obama pensait peut-être, être en train de mettre l'Iran à genou avec le boycot oraganisé contre le pétrole iranien (voir note du 5 novembre ci-dessous), mais le moyen orient n'arrête pas d'être une poudrière. Après les nouvelles colonies israëliennes, annoncées il y a peu, pour chatier le peuple palestinien, enfin reconnu par l'ONU, la Syrie vient de nous faire entrer, avec cette activation de charges chimiques, dans un monde inconnu et dangereux, ou tout faux pas peut nous mener à un massacre de civils. Hillary Clinton, qui disait-on, pensait quitter son poste de secrétaire d'état, pour se préparer en vue de l'éléction présidentielle de 2016, va devoir rester à son poste, dans un moment qui est le plus critique pour la politique étrangère américaine, depuis au moins la chute des tours jumelles de New York de 2001 (et les campagnes en Irak et en Afganistan, qui ont suivies ce drame). Obama, qui pouvait penser avoir, comme tous les présidents américains, un deuxième mandat calme et apaisé, doit presque peut-être regretter sa réelection. Lui qu'on voyait frémir, regardant la video du commando de marines, traquant Ben Laden dans sa cache pakistanaise, risque d'avoir à trembler dans les prochaines semaines, si les dirigeants syriens s'engageaient dans une telle politique, désespérée et suicidaire. Note: L'armée de l'air syrienne disposerait de plus de 400 avions de chasse Mig, dont 62 Mig 29 (les plus perfectionnés des Mig russes) et 70 avions d'attaque au sol Sukhoi (20 Su24 et 50 Su22), russes aussi. Depuis le début de la guerre civile, la Russie aurait continuer à approvisionner la Syrie en armes. On sait par exemple que des hélicoptères de guerre auraient tenté de rejoindre les eaux territoriales syriennes. La syrie aurait cherché à acheter des missiles anti-aériens à bonne capacité antimissile (les missiles S300 russes). Le contrat aurait été signé, mais, sous la pression américaine, les missiles n'ont pas été livrés par les russes. L'armée syrienne dispose cependant sûrement d'une grande variété de missile anti-aérien SAM (russes) de différents modèles et portées. Elle disposerait aussi, selon des sources israëlienne de 100 à 200 missiles Scud de différents modèles, équipés de gaz sarin et peut-être même de VX (gaz innervant très dangereux, qui peut, en quantité infime, détruire le système nerveux, par simple contact avec la peau). L'amée de terre disposerait, toujours selon les israëliens, d'obus chargés de gaz sarin et de gaz mourtade (celui utilisé pendant la première guerre mondiale). En comparaison si l'on exclu les vieux mirages F1 de surveillance (si ils sont encore en service depuis l'arrivée des drônes), et les 75 mirages 2000 N (qui portent les missiles nucléaires de deuxième frappe), la france dispose seulement de:
Note supplémentaire du 13/09/2013: La france disposerait d'une centaine de missiles de croisière SCALP (à choix de trajectoire balistique ou surbaissée furtive), semi furtifs de part leur forme, tirés depuis des rafales (même ceux du porte avion Charles de Gaulle) ou certains mirage 2000D, dotés d'une capacité d'attaque sur "cible durcie" (bunker) et d'une charge de 500kg équivalent TNT et d'une portée de 250 km. Leur précision sur cible est de l'ordre de 2 à 3 mètres et ils sont multiguidés (guidage inertiel, gps, infrarouge,...) et leur forme leur permet une certaine furtivité. C'est donc ces missiles qui seraient engagés dans l'hypothèse d'une frappe sur la syrie en cet automne 2013. A noter quelques prédecesseurs des "Scalp" de l'armée de l'air, des missiles "apaches" à sous-munitions, sont encore en activité, car, même si d'une portée moindre (seulement une centaine de kilomètres), il ont pour capacité la destruction des pistes aériennes, grâce à leur sous-munitions. Des adaptations marines des missiles Scalp (Mdcn) doivent être mis en service sur les frégates multimisssions qui sont en cours de mise en service (opérationnels en 2014 ou 2015) et sur les sous marins d'attaque de classe Barracuda (opérationnels en 2017). Le premier tir d'essai aurait été effectué en début 2013. Ces missiles bénéficieront d'une portée plus grande au détriment de leur charge explosive (peut-être seulement 250 kg de TNT) et de leur capacité à détruire des cibles "durcies". Tirés depuis des silos de frégates ou des tubes lance engin des sous marins, ils ont (ou auront) une forme cylindrique et seront donc non furtifs. Les chiffres concernant les vecteurs (notamment syriens) sont le nombre d'avions commandés ou détenus, mais évidemment pas des chiffres d'avions opérationnels. N.M. ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ Actualité internationale: Le 5 novembre 2012 Le pétrole contre l'atome... Dans une chronique précédente, je parlais de la dette abyssale des USA (et de certains états les constituant) et de la dépendance qu'avaient les USA envers leurs créanciers, et notamment la Chine. Une toute autre affaire monétaire est parallèlement en cours. Ce que Reagan n'avait pas réussi avec l'URSS, en essayant d'imposer un embargo sur les ventes de céréales à l'URSS, Obama, grâce aux agissement passés de Bush fils, est peut être en passe de le réussir avec l'Iran. Engagé dans une lutte sans merci contre « la plaie communiste », en général, et les arsenaux nucléaires soviétiques, en particulier, Ronald Reagan avait tenté, au début des années 1980, d'utiliser « l'arme alimentaire » contre l'URSS, en essayant d'imposer un embargo sur les céréales vendues à l'Union soviétique. Non suivi, notamment par la France socialiste de Mitterrand, ce fut un échec qui l'amena à choisir la course aux armements que l'on sait (avec le programme appelé « guerre des étoiles »). Cette course fit mettre pied à terre à l'ours soviétique. Confrontée, elle, au programme nucléaire iranien, l'administration Obama a peut-être enfin réussi à trouver une solution. Les solutions militaires étaient quasi impossibles, car diplomatiquement intenables (sauf à laisser les israéliens faire le sale boulot), mais surtout, hasardeuses et dangereuses :
Evolution du cours du Rial Iranien
Affaire à suivre... N.M. ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ Economie Internationale: Le 6 frévrier 2013 L'effet de la crise des "subprimes" existe encore... Des données factuelles sur cette crise qui a encore des répercussions sur nos économies ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
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